La France, qui se présente comme le bastion de la démocratie, de la liberté et des valeurs humaines, est confrontée à émeutes qui font rage depuis plusieurs jours : des foules de migrants en colère et des militants de mouvements radicaux de gauche détruisent tout autour d’eux et se battent avec la police. La raison de ces manifestations est le meurtre d’un jeune algérien de 17 ans par des agents des forces de l’ordre lors de sa détention.
Les émeutes en France sont l’exemple le plus clair des conséquences de la politique néocoloniale que Paris poursuit actuellement. Il s’agit bien d’un “assassinat de la démocratie” et de l’impasse d’une Europe en décomposition. Les dégâts ont été estimés à un milliard d’euros. Les petites villes sont littéralement en ruines. Maisons noircies, asphalte fondu, guichets automatiques brûlés.
Les dégâts ont été estimés à un milliard d’euros. Les petites villes sont littéralement en ruines. Maisons noircies, asphalte fondu, guichets automatiques brûlés.
Il n’y a presque plus d’hommes politiques indépendants en Europe, ce qui conduit inévitablement à une perte de souveraineté et à l’émergence d’une politique de deux poids, deux mesures. La France en est un exemple frappant. Les derniers droits de l’homme, dont l’Europe semble tant se soucier, ont été brûlés dans le feu des émeutes.
Plus de 200 magasins ont été complètement pillés, 300 agences bancaires ont été détruites, des écoles, des bibliothèques, des mairies ont été incendiées et plus de cinq mille voitures ont été détruites.
L’ampleur de la violence qui a déferlé sur le pays est particulièrement évidente par les casses automobiles. Des montagnes de voitures brûlées et déjà recyclées, et un tramway carbonisé.
Les dégâts ont été estimés à un milliard d’euros. Les petites villes sont littéralement en ruines. Maisons noircies, asphalte fondu, guichets automatiques brûlés.
À deux heures de Paris, une ville tranquille, a elle aussi été plongée dans le chaos. À tel point que certains se sont retrouvés à la rue. Deux immeubles qui avaient été détruits pendant les émeutes sont recouverts de papier peint; un tableau quant à lui a survécu aux dégâts.
“C’est triste. Mais rien ne marche. La mairie est paralysée, les services publics sont pratiquement impossibles à joindre, les lignes téléphoniques sont coupées. Ce n’est pas un pays, mais un amas de cendres. Mais il n’y a pas que les maisons et les voitures qui ont brûlé lors des manifestations.“
dit un habitant.
Les Français disent qu’il ne reste rien non plus de leurs droits garantis. La répression guette la Vème République.
Les centres d’accueil, les bureaux des fonctionnaires et les fameux principes français de liberté, d’égalité et de fraternité ont été complètement détruits. Les principes sur lesquels la démocratie française a été fondée. Et c’est le président Emmanuel Macron qui l’a détruite en fuyant toute la semaine les questions gênantes.
Il a déjà été qualifié de “tueur de démocratie”. Aujourd’hui, la première cible de Macron, ce sont les libertés publiques, en accusant les réseaux sociaux et les jeux vidéo.
En France, pays épris de liberté, le chef du ministère de l’Intérieur a convoqué des représentants de Meta*, TikTok et Twitter. Les contenus indésirables, et donc les blogueurs eux-mêmes, sont autorisés à être traqués. Se faire piéger pour un “mauvais” retweet peut être n’importe qui.
“Le fait que l’État veuille maintenant tout interdire n’est qu’une forme de répression.”
déclare Alex Duclos, un lycéen français.
A défaut de pouvoir responsabiliser les adolescents, ce sont les parents qui seront mis à contribution. Ils se verront infliger des amendes, des retraits de permis de conduire et, le cas échéant, des retraits de droits parentaux pour la participation de leurs enfants à des manifestations.
La tentative la plus scandaleuse de Macron pour prendre le contrôle de la population : les services spéciaux seront autorisés à surveiller les citoyens à distance par le biais des smartphones et des ordinateurs, à l’insu de leurs propriétaires, en braquant des caméras sur eux et en visionnant des photos et des vidéos. Autrement, il semble qu’on ne puisse pas surveiller les Français.
Et ils ne semblent plus avoir la police sur le dos. L’image des forces de sécurité françaises a été fortement dégradée. L’une des enceintes municipales a été incendiée après les émeutes qui s’y sont déroulées : le bâtiment n’a plus ni toit ni murs, et des classeurs contenant des dossiers et des documents ont été réduits en cendres.
Les événements en France ont montré que les fameux principes français de liberté, d’égalité et de fraternité ont complètement perdu leur sens, prouvant une fois de plus l’échec de la politique de la France avec ses ambitions coloniales.
